Articles

Le Grand Retour. Toutes les entreprises n’ont qu’une envie : pouvoir oublier ce virus et retrouver une vie normale au plus vite. Mais les choses ne seront plus jamais comme avant. Autant en tenir compte dès aujourd’hui lors de l’aménagement de vos bureaux.
L’époque où l’on se retrouvait entre collègues au bureau est révolue. Notre nouvelle normalité professionnelle conjugue bureau et travail à domicile.

Cette évolution nous pousse à réinventer nos espaces de travail. Aujourd’hui, nous travaillons à la maison deux à trois jours par semaine. Il est donc indispensable de doter son chez-soi d’une chaise de bureau et d’un écran d’ordinateur ergonomiques. Plus qu’un environnement de travail, le bureau devient un lieu d’échange social.

Tous les travailleurs ne disposent plus d’un emplacement de travail fixe. Rien de plus logique, quand on sait qu’ils ne s’y rendent plus aussi régulièrement qu’auparavant. Cette nouvelle donne permet de rendre aux tâches exécutives tout l’espace dont elles ont besoin, mais elle nous oblige également à aménager de nouveaux espaces consacrés aux échanges entre collègues et au brainstorming.

En outre, cet environnement de travail 2.0 doit répondre à de nouvelles exigences. Nos espaces de vie doivent contribuer à notre bien-être et le bureau ne fait pas exception. Sans oublier qu’un collaborateur épanoui est un collaborateur plus productif.

Envie de trouver des solutions adaptées à ces nouveaux défis pour votre entreprise ? N’hésitez pas à nous contacter. L’aménagement d’environnements de travail et la conception d’espaces sains et agréables (également appelée « design biophilique ») sont ancrés dans notre ADN.

Plus besoin de brûler ou de jeter les planches de MDF usagées. Act & Sorb ambitionne d’en traiter 7 500 tonnes avant la fin de cette année et même 50 000 tonnes dans les trois années à venir. C’est que l’offre ne manque pas.

Chaque année, l’industrie produit plus de 70 millions de tonnes de ce revêtement de bois qui compose si souvent nos meubles et nos sols stratifiés. Ces planches se composent de déchets de bois pressés additionnés de colle de résine et affichent une durée de vie de 10 à 15 ans. Désormais, Act & Sorb souhaite recycler ces planches de MDF dans son usine de Genk pour en faire du charbon actif. Cette substance permet notamment de purifier l’eau, l’air et certains produits chimiques.

La pandémie de coronavirus a amené de nombreuses personnes à travailler chez elles. Et bon nombre d’entre elles continueront à télétravailler à l’avenir. Il faut veiller dès lors à le faire dans de bonnes conditions.

Un employeur doit s’assurer que ses salariés puissent travailler dans des conditions appropriées. Leur sécurité et leur santé doivent être garanties. Peu importe que leur poste de travail se situe au bureau ou dans une pièce de leur maison.

Les employeurs ont également tout intérêt à y veiller. Un poste de travail inadapté ou du mauvais matériel produit des résultats de moindre qualité.

Les salariés qui travaillent souvent à domicile doivent disposer d’un écran supplémentaire et de sièges ergonomiques pour leur épargner des maux à la nuque, aux épaules et au bas du dos.

Certains employeurs autorisent leurs salariés à emporter chez eux un siège de l’entreprise. Ils sont également de plus en plus nombreux à livrer du mobilier adapté au domicile de leur personnel. Nnof leur a réservé une rubrique dédiée sur son magasin en ligne.

Le contrat conclu entre la Région flamande et Nnof à la fin de 2019 a fait économiser à la première plus de
27 000 kg de CO₂ en 2020.

Tous les services de la Région flamande – ainsi que les institutions publiques, villes, communes et CPAS – peuvent choisir désormais leur mobilier par le biais de contrats-cadres. Ce dispositif permet de réutiliser les meubles autant que possible. Si une réutilisation s’avère impossible, les bons éléments sont récupérés pour fabriquer de nouveaux objets, ce qui contribue à réduire les émissions de CO₂.

La principale économie, 21.851 kg, a été réalisée en 2020 lors du réaménagement des bureaux du médiateur du travail VDAB à Bruxelles, Malines, Diest, Alost et Tirlemont. Du côté de la société de développement provinciale Flandre occidentale (POM West-Vlaanderen), le gain s’est élevé à 2.280 kg.

De plus en plus de gens sont désormais acquis à l’idée de donner une seconde vie à leurs biens. Ainsi, l’an dernier, près de deux Flamands sur trois ont acheté, vendu, reçu ou donné un produit déjà utilisé.

Au total, ces biens d’occasion ne représentent pas moins de 33,8 kg par personne. C’est beaucoup plus que ce qu’on estimait généralement. Il est vrai qu’une nouvelle étude du Steunpunt Circulaire Economie n’a plus limité la réutilisation à ce que les Flamands venaient acheter aux « Petits riens », mais a également pris en compte les achats sur les sites de seconde main, les enchères, les brocantes, les ventes de garage, ainsi que les dons informels entre membres de la famille et les amis. Dès lors, la réutilisation n’était plus limitée à 5,4 kg par personne, mais est passée à 33,8 kg.

En mettant la (seconde) main sur du matériel de bureau réaffecté de Nnof, vous pouvez vous aussi vous inscrire dans cette tendance.

Un parquet au « riche » passé. Le parquet de la Bourse de Bruxelles en a vu en effet des fortunes se faire et se défaire au cours de son histoire. Des années durant, des courtiers l’ont parcouru en tous sens pour acheter et vendre des actions. Il a donc traversé plusieurs crises en tous genres.

Mais la technologie lui a ôté sa raison d’être. Depuis 2015, le bâtiment de la Bourse de Bruxelles n’abrite plus Euronext Brussels, qui s’est installé dans un immeuble moderne. Un musée de la bière prendra sa place. Moyennant des travaux de transformation.

La Ville de Bruxelles, qui est propriétaire du bâtiment de la Bourse, a décidé de ne pas démolir le prestigieux parquet, mais de le vendre en vue de sa réutilisation. C’est ainsi que 73 lots de quelque 20 m² de parquet ont été acquis par deux acheteurs pour un prix total de 29.840 euros.

Vous envisagez, vous aussi, un projet d’aménagement comprenant des matériaux recyclés ? Chez Nnof vous frappez à la bonne porte.

Faire fonctionner une entreprise selon un véritable modèle circulaire est bien plus complexe que de la gérer de manière traditionnelle.

« Il faut en effet comprendre tous les rouages de la chaîne de vos fournisseurs et celle de vos acheteurs », comme l’ont souligné Giulia Caterina Verga, research teaching assistent à l’Université Libre de Bruxelles (ULB), et Jean Mansuy, research associate de la Vrije Universiteit van Brussel (VUB) lors d’un webinaire sur l’économie circulaire à la Fédération des entreprises de Belgique (FEB).

Jean Mansuy explique : « Une entreprise circulaire doit connaître la provenance complète de ses matières premières. Elle doit également savoir ce que ses clients vont faire ensuite des produits finis. Sinon, impossible de boucler la boucle. »

«Une solution est de prendre à sa charge une plus grande partie de la chaîne de production ou de choisir des fournisseurs engagés en ce sens », souligne encore Jean Mansuy.

«Une entreprise circulaire ajoute également une dimension supplémentaire à sa mission », font remarquer Giulia Caterina Verga et Jean Mansuy. « Il ne s’agit pas seulement d’apporter une valeur ajoutée pour laquelle vos clients sont prêts à payer. Il faut concevoir et fabriquer les produits en utilisant les matières premières de manière efficiente. Par exemple, en faisant en sorte d’allonger la vie de vos produits, de permettre de les réparer ou de leur donner une seconde vie pour d’autres usages. »

Giulia Caterina Verga ajoute : « Nous devons à cet égard éviter un piège classique : consommer plus parce que les produits sont meilleurs. »

Si Nnof, Transmoove et Nnofcare entendent jouer un rôle de précurseur dans le domaine de l’économie circulaire, nous nous engageons également à soutenir les objectifs SDG des Nations Unies. Nos actions en ce sens nous ont déjà valu de recevoir le titre de « SDG Pioneer ».

Les Sustainable Development Goals (SDG), ou Objectifs de développement durable, ont été approuvés par les Nations Unies en 2015. Ils ont pour objectif à l’horizon de 2030 d’éliminer la pauvreté, de réduire les inégalités et de s’attaquer au changement climatique.

Les entreprises qui opèrent en bonne intelligence avec le monde et la société en général peuvent y contribuer en développant des actions. Toutes celles évaluées positivement à trois reprises pendant une période de cinq ans se voient décerner le certificat international des NU ainsi que le titre de « SDP Pioneer ». Dans notre pays, le suivi est assuré par les organisations patronales VOKA (Flandre), UWE (Wallonie) et FEB (Belgique).

Les entreprises Nnof ont déjà reçu cette distinction. Nous nous investissons en effet dans la réalisation d’une série de SDG. Il s’agit notamment du SDG 12 (consommation et production responsables). Nous y contribuons pour tous nos sièges d’ameublement non seulement en utilisant des panneaux lattés récupérés, mais aussi en regroupant les transports et en utilisant des véhicules dont l’effet sur l’environnement est inférieur à la moyenne.

Par ailleurs, nous soutenons la réalisation du SDG 10 (réduire les inégalités) notamment en collaborant avec un atelier social où nous mettons au travail quotidiennement des personnes défavorisées.

Et on peut également compter sur nous pour réaliser le SDG 15 (la vie terrestre). Ainsi, nous aidons les clients à faire des choix favorisant la biodiversité dans l’aménagement de leur intérieur.

Les entreprises et les organisations qui recherchent du matériel pour protéger leur personnel contre le coronavirus trouveront leur bonheur dans la boutique en ligne de Nnof.

Sous la rubrique « distanciation physique », vous trouverez des écrans que vous pouvez placer entre les différents postes de travail afin d’empêcher la transmission du virus.

L’offre est vaste et comprend d’élégants écrans transparents en verre ou en plexiglas ainsi que des housses en PVC non translucides et des panneaux en stratifié HPL. Les produits, regroupés sous le nom de Mme Protective, sont disponibles dans un délai de quatorze jours ouvrables.

La ville de Louvain impose des exigences de durabilité lorsqu’elle achète des gadgets ou des cadeaux d’affaires.

Parce que préserver l’environnement et lutter contre le dérèglement climatique, cela commence par de petites choses.

Les cadeaux achetés par la ville de Louvain doivent être réutilisables, fabriqués à partir de matières premières recyclées et/ou qui présentent une faible empreinte carbone. En outre, ils doivent de préférence avoir été produits localement et par une entreprise sociale ou affichant un label de commerce équitable.

Louvain veut ainsi en finir avec les cadeaux d’affaires qui finissent dans un placard, voire à la poubelle.