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Les défis climatiques exigent des actions énergiques. Les bureaux doivent être conçus et construits différemment. Une approche circulaire permettrait déjà d’accomplir de grands progrès.

Actuellement, le secteur de la construction est l’un des plus gros consommateurs d’énergie et de matériaux bruts. Dans l’Union européenne, sa part est estimée à 40% des émissions de CO2 et à près d’un tiers des déchets. Au terme de leur cycle de vie, seuls 40% des déchets de construction sont recyclés et réutilisés. Souvent comme matériaux de moindre valeur, par exemple pour les routes.

Au vu des défis climatiques, il faut repenser tout le processus de construction. Adopter une approche circulaire signifierait déjà un progrès considérable. Dans le secteur de la construction, cette transition se traduit notamment par la revalorisation (« upcycling ») des matériaux, une révision de la chaîne logistique et une collaboration holistique entre les investisseurs, architectes et entreprises de construction.

Hausse de la productivité

Les immeubles du bureau doivent également s’inscrire dans cette évolution. La vie au bureau sortira profondément changée de la crise du Covid-19 : elle sera plus flexible, réservera une plus grande place aux nouveaux espaces de collaboration, favorisera de nouveaux modèles économiques, accroîtra l’efficience énergétique et révolutionnera le mobilier.

Les avantages ne se limitent pas d’ailleurs à l’aspect environnemental. Des études ont montré que les matériaux écologiques sont bons pour le bien-être et peuvent accroître la productivité jusqu’à 10 %. Si l’approche circulaire commence seulement à pénétrer l’environnement de travail, elle deviendra la norme dans les dix ans qui viennent.

Lors de cette table ronde, des spécialistes, dont Anne Lenaerts de Nnof, braquent leurs projecteurs sur la construction circulaire en Wallonie et à Bruxelles.

Vous souffrez de maux de tête ou d’énervement après une longue journée de travail ? Ce n’est pas surprenant, quand on sait que la qualité de l’air présent à l’intérieur des bureaux est loin d’être optimale.

Actuellement, l’entreprise gantoise TakeAir teste un dispositif permettant d’injecter dans l’air des organismes que l’on retrouve habituellement dans la nature.La majorité des immeubles de bureau sont particulièrement bien isolés. C’est une bonne nouvelle pour la facture énergétique, mais l’air ambiant s’en trouve appauvris. Pour pallier ce problème, TakeAir élabore une solution reposant sur une architecture microbienne. Ce dispositif consiste à stocker des bactéries dans un réservoir avant de les injecter dans le système d’aération du bâtiment.

Cette nouveauté permettra par exemple de diffuser une agréable odeur boisée dans tout votre bâtiment. Vous aurez l’impression de travailler au milieu des bois, le pollen, les abeilles et les moustiques en moins.

L’objectif de ce système ? Garantir un air plus frais et réduire les problèmes de santé.

Si les dispositions de lutte contre l’épidémie se sont assouplies, nous ne retrouverons pas tout de suite notre vie professionnelle d’avant. Le respect des mesures d’hygiène et de distanciation sociale reste nécessaire. Mais comment appliquer tout cela dans la pratique ? L’impact de ces mesures sur le monde de l’entreprise est plus grand que beaucoup ne le pensent.
Leur influence est visible dès l’accueil de vos bureaux. Vous pourrez par exemple doter le guichet de votre accueil d’une vitre en plexiglas munie d’un passe-document. Vous disposez d’une salle d’attente ? Dans ce cas, vous devrez éventuellement en réduire le nombre de sièges. Enfin, il vous faudra également réaliser un marquage au sol afin d’assurer le respect des distances de sécurité dans les files.

Êtes-vous en mesure d’établir un sens de circulation avec des couloirs ou des zones à sens unique ? Si ce n’est pas le cas, il sera peut-être nécessaire d’indiquer des lieux de croisement que les visiteurs pourront emprunter en toute sécurité.

Dans les bureaux, la majorité des îlots de travail offrent l’espace nécessaire en vue de respecter une distanciation sociale de 1,5 mètre. Il peut toutefois être utile de réaménager ces espaces afin de respecter une plus grande distance ou d’installer des vitres de sécurité. Si vos îlots sont trop petits, veillez à maintenir vos espaces de travail ouverts et à placer des vitres là où cela s’avère nécessaire.

Autres possibilités : utiliser un seul côté de l’îlot de travail, réagencer les bureaux et les armoires, etc. Pensez toutefois à prendre en compte l’emplacement de vos prises.

Dans un premier temps, seuls quelques aménagements s’avéreront nécessaires, étant donné qu’un certain nombre de vos collaborateurs travaillent toujours depuis chez eux. Ce qui ne signifie pas que des modifications plus importantes ne s’imposeront pas plus tard.

Faites votre possible pour conserver une ambiance agréable malgré ces différents changements. Le défi, en l’occurrence, consiste à trouver l’équilibre entre confort et sécurité. N’oubliez pas de désinfecter vos espaces de travail à intervalles réguliers.

Nnof vous distille ses conseils et vous propose les matériaux dont vous avez besoin pour faire de votre entreprise un espace ‘coronaproof’.

Vous recherchez des talents créatifs pour votre entreprise ?

Dans ce cas, ne sous-estimez pas l’apparence de vos bureaux. Ils sont votre carte de visite, non seulement pour vos propres salariés, mais aussi les clients et les candidats potentiels.

à l’heure actuelle, les talents peuvent souvent choisir eux-mêmes leur employeur. Les attirer n’est donc pas une mince affaire. Un lieu de travail agréable et plein de caractère et des installations de qualité, équipées des technologies modernes, peuvent vous aider dans cette tâche.

Il en va de même de la rétention du personnel. Vous devriez peut-être prendre le temps de réfléchir à l’évolution de votre concept de bureau. Vous pourriez libérer une énergie nouvelle en examinant celui-ci de près et en le réinventant complètement.

L’hiver sombre a fait place aux fraîches odeurs printanières. Toutes les pièces de la maison subissent un nettoyage de printemps. Pourquoi ne pas en faire autant du bureau ?

À l’origine de cette coutume annuelle, il y avait la nécessité d’enlever autrefois la fine couche de suie et de poussière laissée par le chauffage au bois ou au charbon pendant l’hiver. Les temps ont changé, mais nous avons gardé cette habitude. Pourquoi ne pas en faire autant au bureau ? Les avantages sont légion : votre lieu de travail est plus sain et plus agréable, aussi bien pour vous que pour vos collègues ou vos visiteurs. Et vous serez aussi plus productif, car vous n’aurez plus à rechercher un document si tout est bien rangé.

Vous êtes une personne très stressée ? La cause se trouve peut-être dans votre bureau ou dans votre environnement de travail. Une étude réalisée par l’Université de Californie (UCLA) démontre un lien entre un milieu de vie désordonné et la présence d’un niveau élevé de cortisol, l’hormone du stress. Chez les femmes, le lien est remarquablement plus important que chez les hommes, ce qui explique peut-être le fait qu’elles sont beaucoup plus rapidement agacées par le désordre.

Lorsque notre corps est confronté au stress, il produit du cortisol. Cette hormone n’est pas produite par hasard, étant donné qu’elle possède une fonction bien particulière qui permet d’augmenter notre capacité de réaction. Elle vient en aide à l’humain afin qu’il réagisse, ou prenne rapidement la fuite, en cas de situation dangereuse stressante, ce qui a sans aucun doute déjà permis de sauver de très nombreuses vies humaines.

De nos jours, l’incidence de l’amplification de la réaction provoquée par le cortisol est devenue moins importante, mais elle continue tout de même à exercer une influence sur notre corps, à savoir l’augmentation de la pression sanguine ainsi que la pression exercée sur nos muscles, qui peut, par conséquent, créer des troubles physiques.

L’Université de Californie a basé ses conclusions sur l’observation de 32 familles dans leur environnement d’habitat, mais les résultats sont sans aucun doute également applicables à un environnement professionnel. Lorsqu’une personne ne trouve pas immédiatement un document, elle engendre du stress. Si, à ce moment-là, quelqu’un s’exclame, “ça me tape sur les nerfs”, et bien il a probablement raison.

Un environnement désordonné n’est pas agréable à regarder et n’est donc pas non plus favorable aux personnes.

Durant la pause de midi, les salariés belges sont cloués à leur bureau. Plus d’un employé sur trois reste derrière son bureau durant sa pause déjeuner afin de surfer sur internet ou sur les réseaux sociaux. Un salarié sur sept continue à travailler.

Même les personnes marquant une pause ne prennent pas suffisamment de temps pour manger en toute quiétude. 64% d’entre eux quittent leur bureau durant à peine une demi-heure et une personne sur quatre est de retour dans le quart d’heure.

Les résultats ressortent d’une enquête de la compagnie d’assurances NN qui a interrogé 1.061 Belges actifs à cet effet.

L’assureur attire immédiatement notre attention sur les conséquences de cet acte, à savoir que notre cerveau n’est jamais en repos, ce qui engendre que deux personnes interrogées sur trois reconnaissent avoir des passages à vide en fin de journée.

La productivité peut-elle découler d’un simple coup de balai ? La réponse serait « oui » ! Car les employés sont de plus en plus préoccupés par l’hygiène de leur poste de travail, trop souvent délaissée par leur entreprise, selon eux.

Selon une étude du Center for Economics and business Research, les claviers d’ordinateurs contiendraient 400 fois plus de bactéries que la cuvette des WC. Idem pour la souris, celle des hommes étant 40% plus sale que celle des femmes. Résultat : des arrêts maladie à répétition et donc un impact sur la productivité ! 

C’est d’autant plus vrai aujourd’hui que nombre d’entreprises ont mis en place des postes de travail partagés. D’où une préoccupation de plus en plus grande des employés à la propreté de leur bureau et de l’environnement de travail en général.

La solution ? Motiver chacun à garder les locaux et bureaux propres mais aussi, pour l’employeur, choisir des matériaux non plus seulement pour leur esthétique mais pour leur facilité de nettoyage. Les agents de nettoyage seront plus efficaces, les bureaux plus propres, les salariés plus motivés à adopter des comportements sains. Et pour tout cela Nnof Care peut vous aider…

Optimiser un bureau ou un espace de travail contribue à l’efficacité et au bien-être des employés. Nnof a poussé la réflexion en créant un nouveau service : Nnof Care.

En partenariat avec l’Antwerp Management School, Nnof a rassemblé toutes les compétences nécessaires afin de mieux penser et élaborer les espaces de travail. Toujours en fonction des aspirations et des situations vécues par les entreprises. Grâce à Nnof Care, les espaces de travail seront plus performants et agréables, accueillants et épanouissants. Ils deviennent de vrais outils stratégiques au service de l’employé et de l’entreprise.

« Dis-moi comment ton bureau est rangé, je te dirai qui tu es. » Des chercheurs, en Europe et aux Etats-Unis, ont analysé à quel point l’agencement d’un bureau pouvait être révélateur de l’état d’esprit, et de caractère, de celui ou celle qui y travaille. Résumé !

> Un bureau qui déborde : disons plutôt un ordre qui n’appartient qu’à vous. Dossiers dans tous les sens, Post-it® partout… Ca signifie ? Que vous avez clairement du mal à jeter et que vous ressentez un profond besoin de tout contrôler.

> Un bureau dépouillé : pas d’objets perso, aucune photo ni plante verte, juste le strict nécessaire pour bosser. Ca signifie ? Vous devez être froid et distant. Mais aussi sans doute précis et organisé.

> Un bureau avec un touche d’humour : un ballon de basket dans un coin, un sachet de gommes nounours à côté d’un mug à l’effigie de Batman… Ca signifie ? Vous avez un profil de « rebelle », vous aimez casser les codes. Voilà qui peut révéler une vraie créativité doublée d’une spontanéité innovante.

> Un bureau archives : sur votre bureau trône le menu du dernier lunch avec les collègues, le résumé de la réunion d’il y a 6 mois, l’invitation au team-building d’il y a 3 ans… Ca signifie ? Vous êtes le musée de l’entreprise. Solidaire, chaleureux, apprécié de vos collègues, vous manquez parfois de discrétion…